L’année 2022 est une année charnière pour les plans du pacte vert pour l’Europe et la mise en œuvre de politique concrète pour réduire notamment les émissions de gaz à effet de serre.
À l’heure où notre dépendance au gaz russe est un enjeu géopolitique majeur, il est de bon ton de se poser la question des alternatives possibles au gaz russe et singulièrement des solutions en lien avec la transition écologique devenue prioritaire au regard du dernier rapport du GIEC.
La guerre ukrainienne comme une occasion de sortir de la dépendance ?
A l’heure où les États-Unis mettent en place un embargo sur le gaz et le pétrole russe, l’union européenne fortement dépendante s’interroge sur la marche à suivre. Si la France n’utilise que 30% du gaz russe, l’Allemagne en est bien plus dépendante. L’enjeu est encore plus fort pour les pays plus à l’est membre de l’UE comme la pologne qui dépendent à 100% du gaz russe.
Il faut rappeler toutefois que l’objectif est de mettre un coup à l’économie russe pour laquel le gaz représente 1/3 de ces recettes.
Ukraine: l’UE n’envisage pas d’embargo mais souhaite réduire sa dépendance au gaz russe https://t.co/SZSMmKQnUW pic.twitter.com/zK2O4xWNuB
— RFI (@RFI) March 8, 2022
Une ressource pour mieux comprendre la dépendance au gaz russe :
Selon Neil Makaroff, du Réseau Action Climat (RAC) interrogé par Ouest France, l’argent manque cruellement encore pour investir massivement dans la transition écologique. La guerre de la Russie en Ukraine serait donc t’elle l’occasion d’une prise de conscience sur notre dépendance au gaz russe ? Un sommet pour le climat a eu lieu à Nantes les 7 et 8 mars 2022 sur la réponse de l’Europe dans la transition écologique.
On s’interrogeait sur l’inertie des politiques depuis des années sur la question des énergies fossiles
À Nantes, ces défenseurs du climat dénoncent « le gaz à effet de guerre » https://t.co/IQ1TZZIN9R via @ouestfrance
— Arnaud Wajdzik (@awajdzik) March 8, 2022
ce rendez-vous se veut régulier et ambitionne la poursuite d’échange constructif sur les engagements étatiques notamment sur l’accord de Paris qui pour l’heure n’est pas respecté.
Il est utile de rappeler qu’actuellement le débat sur l’écologie représente à peine 5 % des sujets abordés dans la campagne présidentielle. On mesure ici le décalage entre les faits rapportés par le GIEC et la volonté politique sur ces sujets.
Je suis une jeune maman, âgée de 27 ans, qui s’intéresse à l’écologie et à la protection de l’environnement. J’ai grandi dans une famille où l’écologie était une valeur fondamentale, et j’ai toujours été très sensible à la protection de la planète. Depuis que je suis maman d’une petite Ninon de bientôt 2 ans, je me suis encore plus impliquée dans la lutte contre le réchauffement climatique et la pollution. J’ai commencé à écrire des articles sur mon site, La Révolution Textile, pour sensibiliser les gens aux enjeux environnementaux. Je suis également engagée dans des projets de recyclage et de réutilisation des matériaux et des vêtements.
Je souhaite sensibiliser les gens aux enjeux environnementaux et à leur impact sur la planète. J’ai aussi organisé des événements pour encourager les gens à adopter des pratiques plus respectueuses de l’environnement.